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Chapitre 3 : Rétrospective.

*Chez Bertin.

(Isabelle parla à Bertin).

Isabelle : qu’à fait votre frère pour être arrêté ?

Bertin : une erreur, j’étais gravement malade mais on n’avait pas d’argent pour me soigner et les docteurs me laissaient mourir à petit feu alors mon petit frère a fait un braquage qui a mal tourné.

*Un mois plutôt.

(Paulin entra dans une supérette un soir pour la braquer).

Paulin : hey, ne bougez pas, les mains en l’air !

(Le propriétaire, monsieur Gérard leva ses mains).

Gérard : s’il vous plait, ne me faites pas de mal.

Paulin : vous êtes seul ici ?

(Il y avait un autre homme mais Gérard ne le dit pas).

Gérard : oui je suis seul, prenez tout ce que vous voulez.

(L’homme dans la supérette se cacha et observa la scène).

Paulin : aller ! Videz-moi votre caisse, tout de suite.

Gérard : d’accord, d’accord je vais le faire.

(Il commença à vider sa caisse. Paulin lui donna un petit sac et il y mit l’argent. Une fois finit, il frappa la main de Paulin avec le sac et son arme tomba. Il sauta sur Paulin pour le faire tomber puis il prit son arme. Mais Paulin se releva très vite et il essaya de lui arracher l’arme. Ils se débattirent et un coup est partie. Une balle atteignit le ventre de Gérard qui tomba et se vida de son sang. Paulin prit le sac avec l’argent et s’enfuit. L’homme qui se cacha arriva).

Jonas : monsieur, tenez bon, tenez bon monsieur, j’appelle les secours.

(Jonas sortit et vit Paulin jeter l’arme dans la poubelle. Il appela ensuite une ambulance et le BEST. L’ambulancier et les agents du BEST arrivèrent).

Krist : écartez-vous !

Jonas : c’est moi qui vous ai appelé, la victime est morte.

John : vous le connaissiez ?

Jonas : oui, il s’appelle Gérard, cette supérette est la sienne.

Krist : que s’est-il passé ?

Jonas : monsieur Gérard voulait fermer sa supérette mais j’avais besoin de quelque chose alors il attendait que je la trouve. Pendant que je cherchais, un homme était arrivé avec une arme et il a braqué monsieur Gérard. Il a essayé de lui arracher son arme et une balle est partie. C’est monsieur Gérard qui l’a reçu et il en est mort le temps que vous arriviez.

John : avez-vous vu le visage du suspect ?

Jonas : oui je l’ai vu.

Krist : pouvez-vous nous faire une description ?

Jonas : mieux que ça, je vais vous faire un dessin également.

Krist : génial. Officier, donnez un crayon et une feuille à cet homme.

Officier : à vos ordres !

Jonas : je l’ai vu partir et jeter son arme dans la poubelle là-bas.

John : je m’en charge.

(John alla récupérer l’arme pendant qu’on donna des outils à Jonas pour faire le dessin. John prit l’arme et l’apporta).

John : voici l’arme !

Krist : envoyez ça au labo pour analyse.

(Jonas finit son dessin).

Jonas : tenez, c’est l’homme en question.

Krist : vous en êtes certain ?

Jonas : oui, sûr et certain.

Krist : très bien, on va entrer ce dessin dans la base de données pour voir s’il y aura une correspondance. John, on y va. Restez à notre disposition monsieur, vous êtes notre seul témoin.

Jonas : bien sûr.

(Krist et John retournèrent au poste de police).

Krist : Alex, occupes-toi de ce dessin, trouves qui c’est.

Alex : je m’en charge.

*Hôpital

(Paulin rejoignit son frère Bertin à l’hôpital. Il retrouva le docteur).

Paulin : docteur, j’ai l’argent qu’il faut. Maintenant soignez mon frère comme il le faut, et s’il meurt, vous en serez responsable.

Docteur : d’accord, on s’en occupe.

(Les docteurs s’occupèrent donc de Bertin en le soignant d’une blessure par poignard dans le ventre. Après cela, Paulin alla le voir).

Paulin : comment tu te sens grand frère ?

Bertin : je vais bien petit frère. Dis-moi comment tu as obtenu de l’argent pour me faire soigner ?

Paulin : ce n’est plus important, l’important c’est que tu vas t’en sortir.

Bertin : je veux savoir, où as-tu trouvé suffisamment d’argent pour me faire soigner ?

Paulin : j’ai commis une grave erreur grand frère.

Bertin : qu’as-tu fait ?

Paulin : j’ai braqué une supérette et le propriétaire en est mort.

Bertin : quoi, qu’est-ce que tu dis ?

Paulin : c’était un accident, je ne voulais pas le tuer.

Bertin : qu’est-ce qui s’est passé ?

Paulin : le monsieur a voulu m’arracher l’arme et une balle est sortie et elle l’a atteint.

Bertin : merde Paulin !

Paulin : je ne voulais pas te voir mourir grand frère.

Bertin : est-ce que quelqu’un t’a vu ?

Paulin : je ne crois pas.

Bertin : tu ne crois pas ?

Paulin : personne ne m’a vu et je me suis débarrasser de l’arme.

Bertin : je l’espère.

*QG du BEST.

(Alex rejoignit Krist et John).

Alex : lieutenants, j’ai les infos que vous vouliez.

Krist : on t’écoute.

Alex : le suspect s’appelle Paulin Djérassem, il a perdu ses parents l’an dernier et il vit avec son grand frère Bertin Djérassem dans la maison familiale. Il a été arrêté une fois pour possession illégale d’arme à feu.

John : tu as son adresse ?

Alex : oui.

Krist : allons-y !

(Ils prirent l’adresse et se rendirent chez Paulin mais le manquèrent. Ils demandèrent à un officier de rester pour surveiller les lieux. Ils s’en allèrent et reçurent plus tard un appel pour le labo et s’y rendirent).

*Labo

(Krist et John se rendirent au labo).

Krist : alors André, qu’est-ce que ça dit ?

André : j’ai les résultats des analyses.

John : alors ?

André : la balle qui a servi à tuer Gérard correspond bien à cette arme, donc c’est bien l’arme du crime.

Krist : et en ce qui concerne les empruntes ?

André : ils appartiennent à un certain Paulin Djérassem.

John : on tient notre homme.

Krist : merci André.

(Ils prirent les résultats d’analyses et retournèrent à l'agence. Ils donnèrent les résultats et l’arme qui furent classés comme preuves pouvant servir lors d’un procès).

*Chez Bertin.

(Le lendemain, Paulin rentra à la maison pour prendre des nouveaux habits pour son frère et ce fut là que la police l’interpela. L’officier appela immédiatement Krist et John qui arrivèrent et frappèrent à la porte. Paulin vint ouvrir).

Paulin : bonjour !

Krist : vous êtes Paulin Djérassem ?

Paulin : oui c’est moi, que puis-je faire pour vous ?

Krist : vous êtes en état d’arrestation pour le meurtre de Gérard.

Paulin : quoi, meurtre, de quoi est-ce que vous parlez ?

John : n’essayez pas de le nier ok, nous avons un témoin et des preuves.

Paulin : quelles preuves, quel témoin ?

Krist : nous avons vos empruntes sur l’arme que vous avez jeté dans la poubelle et le témoignage d’un homme présent dans la supérette que vous avez braqué.

Paulin : vous vous trompez de personne.

Krist : John, boucles-le !

Paulin : s’il vous plait, mon frère est seul à l’hôpital, il n’a que moi pour veiller sur lui. J’étais avec lui, je n’ai rien fait du tout.

Krist : aller, embarques-le !

(C’est ainsi que Paulin fut arrêté pour le meurtre de Gérard).

*Présentement.

Bertin : mon frère avait appelé mon ami Hassan et c’est lui qui s’est occupé de moi et m’a tout raconté. Une semaine plus tard, je suis sorti de l’hôpital et j’ai tout organisé. Maintenant, je vais tout faire pour que mon frère ne soit pas jugé, ni condamné.

Isabelle : c’est injuste ce que vous faites, votre frère a commis un crime même si c’était non intentionnel ou même si c’était pour vous sauver alors il doit le payer. Vous vous mettrez dans d’autres problèmes en voulant faire ça.

Bertin : mon frère n’est pas un criminel alors je vais le sortir de là, grâce à ton mari.

Isabelle : vous serez tous les deux arrêtés et emprisonnés, vous verrez !

Bertin : ramènes-la à l’intérieur.

(Isabelle fut ramenez dans la chambre auprès de sa fille).

*Chez Krist.

(Krist rentra à la maison et s’assit sur son canapé tellement inquiet. Il regarda les photos de sa femme et sa fille).

Krist : mon Dieu, fasses que rien de mal ne leur arrive, je t’en prie protèges ma famille ! Je ne m’en remettrai jamais s’il leur arrivait malheur, veilles sur elles mon Dieu.

(Il reçut un appel de John).

Krist : Krist, j’écoute !

John : on a besoin de toi tout de suite.

Krist : qu’est-ce qu’il y’a ?

John : on se fait attaquer à l’hôpital.

Krist : quoi, que fais-tu à l’hôpital ?

John : tu délires où quoi, on protégeait Thomas avant que tu ne partes pour chercher ta fille.

Krist : merde, j’ai complètement oublié, j’arrive tout de suite.

John : fais vite !

PRÉSENTEMENT

(Krist prit sa voiture et se rendit à l’hôpital. Il gara sa voiture sur le parking de l’hôpital et vit un van noir devant lui. Il sortit de sa voiture et marcha vers le van. Immédiatement, des tirs vinrent directement sur lui. Il se cacha derrière une voiture et quand le chauffeur du van épuisa ses munitions, Krist arriva en courant pendant qu’il cherchait encore à recharger et il le désarma. Ils se mirent à se battre, ils s’échangèrent des coups, barrèrent et esquivèrent puis le type lança Krist loin sur une voiture. Il s’approcha et envoya une savate que Krist esquiva. Il se releva et ils se battirent puis il frappa le type d’un coup de savate et le projeta contre le Van. Il vint près de lui et le releva. Il le frappa quand quatre autres arrivèrent avec Thomas. Deux tirèrent directement et Krist utilisa le type comme bouclier puis il sauta pour se cacher derrière un poteau. Il tira ensuite et tua deux des hommes. Les deux autres laissèrent Thomas et s’approchèrent. Krist épuisa ses minutions alors il se tint prêt pour un combat corps à corps. Les deux hommes se séparèrent. L’un d’eux se dirigea tout droit sur Krist et l’autre essaie de passer devant lui afin qu’ils puissent l’encercler. Quand le type derrière lui arriva tout près, Krist fonça sur lui et l’attrapa pour tomber. Son arme tomba et Krist le ramassa puis il le prit en otage. Il attrapa son cou et mit l’arme sur sa tête. Il obligea l’autre à jeter loin son arme. Il relâcha ensuite son otage et lui donna un violent coup de savate à la tête pour l’assommer. L’autre couru de toutes ses forces vers Krist et ils se battirent à mains nues un bon moment avant que Krist ne le vainquit. Il fut épuisé et s’assit. C’est en ce moment que d’autres agents arrivèrent et arrêtèrent les deux hommes et s’occupèrent aussi de Thomas. Samuel s’approcha de Krist).

Samuel : est-ce que ça va ?

Krist : à votre avis ?

Samuel : tu as fait ça tout seul ?

Krist : vous voyez quelqu’un d’autre ici ?

(Samuel tapa son épaule pour lui signifier à quel point il était fier. Krist se leva et alla dans la chambre où se trouvait Thomas. Il trouva John à terre et s’approcha de lui).

Krist : John, hey John, hey réveilles-toi, s’il te plait !

(Il reprit connaissance et Krist poussa un grand soupir).

Krist : est-ce que ça va ?

John : ça peut aller, j’ai juste mal à mon épaule.

Krist : tu as reçu une balle. Aller ! Lèves-toi, il faut te faire soigner.

John : ils ont amené Thomas.

Krist : non, ils n’ont amené personne. Je les ai trouvés au parking et je les ai arrêtés.

John : ils étaient quatre.

Krist : non, ils étaient cinq. Un autre les attendait avec un Van. Trois sont morts, deux sont arrêtés et Thomas a été récupéré.

John : c’est une bonne nouvelle.

Krist : aller ! Viens !

John : tu devrais te faire soigner aussi.

Krist : non cava.

John : que s’est-il passé ?

Krist : comment ça ?

John : comment t’as pu oublier qu’on gardait Thomas ?

Krist : désolé, c’est ma fille qui m’a fait oublier ça.

John : heureusement que tu les avais arrêtés.

Krist : c’est vrai, sinon je devais m’expliquer.

John : exactement !

(Krist l’amena à l’ambulance et les ambulanciers soignèrent son épaule).

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